Petits pompons ou pétales charnues explosant de mille couleurs, les chrysanthèmes ravivent les mornes journées d’automne. De vrais petits soleils qui font oublier l’arrivée des premiers frimas à Lorient. 

Arborant un feuillage caduc mais vivace, le chrysanthème est particulièrement apprécié en raison de sa bonne résistance aux basses températures. Voilà aussi pourquoi, il porte bien son nom qui signifie fleur d’or, en grec. Il est d’ailleurs considéré comme un symbole de puissance divine et d’immortalité en Orient, d’où les premières variétés ont été importées en Europe autour du XVIIe siècle. Pas étonnant alors que les chrysanthèmes aient été, au fil du temps, plus particulièrement associés à la Toussaint et aux témoignages d’affection envers nos défunts.

Fidèle à ses convictions, Bokidi s’est attaché à s’approvisionner auprès de producteurs du Grand Ouest, dans le Morbihan et en Touraine, pour assurer une fraîcheur optimale à ses fleurs, tout en limitant l’empreinte carbone de leur acheminement jusqu’à Lorient. Mais si la flamboyance des chrysanthèmes vous laisse de marbre, d’autres fleurs peuvent lui être préférées pour attendre l’hiver.

Bruyère et cyclamen

Originaire du Moyen-Orient, le cyclamen se montre très résistant, malgré la discrétion et l’apparente délicatesse de ses pétales dont les teintes, du rouge au blanc, contrastent avec le vert sombre d’un feuillage coriace. Un grand classique qui se plaît bien à l’ombre des jardins comme des cimetières.

On peut aussi opter pour la sobriété et la robustesse des jolis panachés de bruyère. Là encore, Bokidi joue la carte de la proximité et de la qualité, avec des variétés cultivées en Anjou. Avec les chrysanthèmes, ce sont autant de plantes à la fois rayonnantes et peu exigeantes qui orneront durablement les sépultures de nos aïeux.